À Montréal, nos papilles sont vraiment chanceuses. Il y a une culture gastronomique, des restaurants proposant des cuisines des quatre coins du monde, et beaucoup de produits importés de France – ça c’est moins bon pour notre bilan carbone, mais parfait pour ces petits manques qui se font parfois sentir quand vient la saison de la raclette ou une envie régressive de Prince au chocolat!
Depuis notre première vie québécoise, c’est fou comme la situation s’est améliorée au rayon bouffe des épiceries (avec notamment plein de yaourts!) Je ne ressens que très rarement la frustration de ne pas trouver tel ou tel produit dont je me serais bien régalée. Toutefois, inévitablement, quand je rentre en France, je m’arrange toujours pour avoir quelques kilos en rab dans ma valise, histoire de ramener ces petites choses qui me rappellent cette contrée lointaine d’où je viens. Lire la suite…