Peut-être est-ce à cause de cette manie de me cogner partout chez moi et de me prendre les manches dans les poignées de porte. Peut-être est-ce à force de poser mes coudes à table. Ou peut-être suis-je atteinte du syndrome phobique de la manche déchirée. Je ne sais pas. Quoi qu’il en soit, cela fait plusieurs années que je fais une fixation sur les t-shirts, pulls et gilets dont les coudes sont recouverts de charmants empiècements. Et comme la contradiction fait partie de ma vie, je n’avais encore jamais succombé à l’appel de ce petit détail vestimentaire.
Alors quand, lors de ma balade à Guérande, je suis tombée sur une séries de charmantes coudières thermocollantes Linna Morata, je me suis dit qu’il était temps de passer à l’acte. Lire la suite…