Rester 6 nuits dans une seule et même case au milieu d’une forêt d’orchidées, c’est prendre certaines habitudes…
Comme celle de siroter son apéritif au son des croassements des grenouilles et des murmures de la nature.
Ou celle de se laisser bercer par le souffle du vent s’invitant parmi ces grandes feuilles aux allures d’oreilles d’éléphant.
Ou encore celle de partager chaque matin son petit déjeuner avec un piaf au plumage noir et au poitrail rouge, prénommé « Michel » – ne me demandez pas pourquoi !
Mais demain matin, Michel ne sera pas là pour picorer les miettes de mes Prince chocolat sur la terrasse… Car nous voilà de retour à la civilisation.
Passer de Basse-Terre à Grande-Terre, c’est un peu comme quitter le fin fond du Berry pour rejoindre Paris. Au début, ça fait mal aux tympans, puis aux naseaux. Et une fois qu’on apprend à les connaître, cette Grande-Terre et sa ville de Gosier, à les dompter (et avec un verre de rhum dans le nez !), on leur trouve aussi de nombreux avantages – à tout hasard, des acras délicieux et bon marché. Et même, qu’on s’y sent bien !
8 commentaires
Bon retour parmi nous !
Pas n’encore, pas n’encore… Direction les plages touristiques !
J’aime bien Michel, il a l’air sympa !
Un peu trop gourmand peut-être mais bien sympathique ! :p
Cui-cui! Bon la fatigue veut que je ne sois pas inspirée mais le coeur y est! 😉
Et Michel te répond… Cuiiiiii ! 🙂
Michel va te manquer, c’est sur mais tu devrais surement retrouver Robert ^^
Micheeeeeeeel !
Bon, j’espérais qu’il me suive sur des kilomètres et me retrouve ici, sur mon balcon. Mais apparemment, le froid, ne lui plaît pas ! :p