Là-bas, droit vers l’est, sur cette langue de terre au bout de ce qui semble être le bout du monde, le ciel et la mer s’embrassent. Les rochers, témoins de leurs effusions, restent pourtant de marbre, stoïques ; tandis que les vagues, curieuses de découvrir de nouvelles contrées, se brisent contre la côte dans l’espoir d’y pénétrer.
Là-bas, Klein aurait trouvé le paradis de son nuancier, face à cet océan de possibles. Guidés par le vent emportant foulards et chapeaux, les promeneurs rêvent à cet univers inconnu qui pourrait se trouver, de l’autre côté.
12 commentaires
quel bleu! merci pour ce beau moment d’evasion!
Avec plaisir ma belle !!
En tout cas, j’espère qu’à Barcelone le soleil est plus présent qu’à Lyon…
Très joli texte! Tu donnes envie d’y aller!
Je suis ravie alors ! Le but de ces petits articles était vraiment de retranscrire mes sentiments devants ces coins sublimes. 🙂
Ca fait rever…
Maintenant que je suis rentrée ; j’ai l’impression que cette escapade était un rêve ! 🙂
Ca fait un bien fou… merci 😉
Je suis heureuse que cette petite escapade te plaise 😀
C’est vraiment superbe *__*
La nature qui se déchaîne a vraiment quelque chose de fascinant, voire d’hypnotisant…
En effet, se fracasser contre les rochers, ça ne pardonne pas … Très belle photo.
Merci !
Cette pointe sortie de nulle part était magnifique et vraiment impressionnante ; une inondation de soleil se mêlant au vent et aux embruns et des déclinaisons de bleus à n’en plus finir… Certains se sont quand même risqués à se baigner sur la plage attenante. Moi, j’ai préféré lui tirer le portrait !