Déco

Bouche Bée: un beau projet de boutique à soutenir!

27 août 2018
Bouche Bée Montréal

Marie, c’est cette petite pépite d’énergie, de lumière et de positivisme qui se cache derrière le blog Rue de l’industrie. On s’est rencontrées il y a presque 3 ans maintenant – oh comme le temps passe vite! – autour d’un café juste comme ça, parce que nous avions des points communs. À commencer par des origines françaises, une expatriation, un blog portant le nom d’une artère citadine, notre passion pour les raclettes en plein air et nos contributions à MMM. Oui, c’était déjà pas mal pour débuter!

J’ai beau être bavarde sur le clavier, en vrai, j’ai quelques accents de timidité et j’appréhende toujours de rencontrer une nouvelle personne… La peur de ne pas savoir quoi dire, des blancs et des anges qui passent. Mais avec Marie, ce premier rendez-vous n’a été que paroles et rires. Et depuis, on n’a jamais arrêté de se donner des nouvelles ou de se retrouver pour partager une pause gourmande.

Quand il y a 6 mois, elle m’a parlé de son envie d’ouvrir une boutique, SA boutique, j’ai trouvé l’idée tout simplement géniale. Elle qui aime dénicher de jolies choses, soutenir des créateurs locaux, fabriquer toutes sortes d’objets avec ses mains. Elle qui a de la répartie à vous relancer une discussion sans parler de la météo et possède un sens aiguisé de la négociation. C’était juste parfait, je l’imaginais déjà. Il faut dire que le sens du commerce, elle l’a dans le sang! Sa grand-mère avait une quincaillerie et sa maman a repris l’affaire par la suite pour en faire une belle boutique de déco dans l’ouest de la France. Pour Marie, c’était inné, c’était écrit.

Et puis, tout s’est enchaîné à un rythme effréné… le projet, l’école des entrepreneurs, la signature d’un bail commercial. En quelques mois, Marie transformait son envie en projet concret. Elle allait pouvoir ouvrir sa boutique d’objets déco, cuisine et cadeaux dans notre quartier d’Hochelaga.

Aujourd’hui, elle n’est plus qu’à deux doigts de nous accueillir pour son inauguration. Le local est trouvé: c’est à deux pas de la place Valois (là où tu peux trouver les meilleurs cannelés bordelais de Montréal!) Les travaux avancent bon train et le repérage de l’inventaire a démarré. Tout ce qu’il manque à Marie pour pouvoir achever son projet sereinement, ce sont 5 000 $. Voilà pourquoi, elle vient de lancer sa campagne de sociofinancement sur Ulule. En 6 jours à peine, elle a déjà rassemblé plus de 4 800 $. Mais il faut continuer à la soutenir car entre les frais de la plateforme, les taxes et les jolies contreparties qu’elle nous propose en échange de nos dons, elle ne récupère que 58 % de cette somme pour son projet. Elle vise donc les 8000 $ de contributions pour pouvoir finaliser son financement et ses travaux.

Si comme moi, vous voulez voir ce beau projet se concrétiser et pouvoir profiter d’une jolie boutique dans ce quartier, je vous invite alors fortement et chaleureusement – oui, rien que ça!- à contribuer à sa campagne. Les contreparties (comme cette belle illustration exclusive de Elaillce ci-dessous) ont été choisies avec soin par Marie. Elles reflètent ses valeurs, sa personnalité et le concept de son futur commerce. Et comme elle le dit si bien, il n’y a pas de petite contribution… 5 $ c’est une ampoule, 15 $ une tablette de présentation et 25 $ un pied carré de plancher flottant!

Bouche Bée Montréal

Pour en apprendre plus sur son projet (comme découvrir les beaux plans de la boutique), allez jeter un coup d’œil sur Ulule ou regardez cette vidéo entre deux gorgée de café. C’est Marie qui présente le mieux sa petite entreprise!

En vous remerciant du fond du cœur!

Crédits photos: @bouchebeemtl

Vous aimerez aussi

1 commentaire

  • Répondre Marie Letard 27 août 2018 at 20 h 07 min

    Anne-Laure, je suis une de tes fans, fan de tes mots, du rythme de ta plume, de ce ton bien à toi. Et puis dans la vraie, de ton visage qui s’illumine devant mes folies, comme ce samedi de février, où tu m’écoutais définir les premiers de Bouche Bée.
    Merci pour tout!

  • Répondre à Marie Letard Annuler le commentaire