Chère France,
Je te dédie aujourd’hui ce billet qui se détache quelque peu de ma ligne éditoriale habituellement positivo-hédoniste. Je pense avoir besoin d’évacuer ce venin que je ne peux malheureusement pas disséminer dans les veines de cette sclérose que tu nommes URSSAF.
Depuis que je suis rentrée de Montréal pour vivre en tes contrées, je travaille en tant que freelance grâce à cette invention qui me semblait pourtant fort futée lors de sa création… l’auto-entrepreneuriat. Chaque mois depuis deux ans, je me livre à ce petit rituel de la déclaration en ligne et t’envoie une carte postale électronique chargée de mes cotisations les plus respectueuses.
Jusque là, nous nous entendions bien toutes les deux. Lire la suite…