En mars et avril, j’ai testé…
voter depuis l’étranger (et accessoirement, faire la queue pendant plus de 2h pour accéder à l’isoloir!)
Mais vous savez quoi? Ce n’était pas si pire. J’ai aimé que le hasard fasse que de parfaits inconnus se rencontrent et échangent quelques mots pour passer le temps. J’ai aimé me croire dans un petit village de campagne en croisant un ami à chaque virage de la file d’attente. J’ai aimé voir ces enfants malins tirer partie de la situation pour faire un peu de pâtisserie, vendre des biscuits et récolter des fonds pour de belles causes (ou pour eux-mêmes!) Et puis j’ai aimé voir tous ces français qui vivent loin, qui sont même parfois plus canadiens que français, se mobiliser et prendre ce temps pour agir au lieu de juste s’en moquer parce qu’ils ne sont pas là-bas. Lire la suite…